Il passe nonchalamment et son odeur était très virulente !

Le bouc , au bout d’un moment de réflexions, se décida de se déplacer et il passa nonchalamment à côté de moi. Malgré le vent fort, son odeur était très virulente ! Poursuivant nos chemins chacun de notre côté, d’autres surprises m’attendaient ! Lors de ma randonnée, à l’aller, comme il faisait nuit, je vous le rappelle, je découvris le paysage environnant à chaque pas, avec le vent et une très forte chaleur comme compagnie. Je n’ai toujours pas rencontrer d’âmes qui vivent… C’est un secteur vraiment sauvage ! Côte Est, Crète, septembre 2019.

Qui c’est celui là !

Qui c’est celui là !, a-t-il dû penser ! Cette deuxième rencontre lors de cette randonnée fût lors de mon retour à la civilisation. Il était surpris et curieux comme tout . Vous pouvez voir qu’il y avait du vent et pour tout dire , à un moment, j’étais plié en deux pour pouvoir avancer tellement il était virulent, avec en plus une chaleur très forte. Côte est, Crète, septembre 2019

Limite orientale !

La limite orientale du lieu secret en contre-jour. Maintenant, il faut penser au retour mais avant une petite baignade pour rafraichir le corps pour mieux aborder la remontée et le retour au point de départ. Côte Est, Crète, septembre 2019.

La piscine est ouverte !

La piscine est ouverte , eau chaude, claire et poissonneuse, et en plus si vous observez bien, une bouillonnante sortie d’eau venant d’une petite grotte sous marine. .. La chaleur est bien là et une grande solitude dans ce lieu. Un peu loin, une plage, et une petite bergerie se trouve si vous voulez passer une nuit dans cet endroit retiré du monde. Côte Est, Crète, septembre 2019.

Direction le Sud !

C’est parti, direction le Sud ! Un léger vent venant de trois quart arrière fait du bien car la chaleur se fait, elle, bien sentir. Lors de cette déambulation côtière, je trouvais des fossiles d’oursin, d’un diamètre, environ, de 20 cm. Côte Est, Crète, septembre 2019

Enfin arrivé !

Enfin arrivé au bord de l’eau ! avec un petit regard en arrière d’où j’arrive. Maintenant, un petit casse croûte, et c’est parti pour longer la côte vers le Sud. A chaque pas, une seule précaution, bien poser mes pieds pour éviter de me retrouver très embêté pour rentrer…. Les roches sont très coupantes, notamment. Le vent est toujours là, la chaleur s’est accentuée même à cette heure matinale. avant de reprendre le chemin du retour, je prendrai un bon bain dans cette eau si limpide. Vous comprendrez dans les prochains posts pourquoi ! Côte est, Crète, septembre 2019.

Surprise !

La surprise fût des deux côtés ! Elle devait se demander quel énergumène faisait là ! En essayant de faire son approche, j’avais le vent pour moi, je découvris qu’en fait une dizaine de chèvres  » sauvages » dormaient en bord de mer et elles décampèrent aussitôt . En tout cas, je peux vous dire que cela faisait du bien de voir cette forme de vie dans ce lieu sauvage. Je me sentais moins seul dans ce milieu naturel après ces trois heures de marche dans l’inconnu et la découverte de cette planète terre. Côte Est, Crète, septembre 2020

La gorge sauvage

La gorge sauvage m’est apparue en descendant vers la mer et dont je suis allé faire une reconnaissance pour la prochaine fois où j’irai .C’était un peu chaud  » patate  » mais faisable mais à deux. Seul, cela serait pas très raisonnable ! Côte Est, Crète, septembre 2019