Le bouc , au bout d’un moment de réflexions, se décida de se déplacer et il passa nonchalamment à côté de moi. Malgré le vent fort, son odeur était très virulente ! Poursuivant nos chemins chacun de notre côté, d’autres surprises m’attendaient ! Lors de ma randonnée, à l’aller, comme il faisait nuit, je vous le rappelle, je découvris le paysage environnant à chaque pas, avec le vent et une très forte chaleur comme compagnie. Je n’ai toujours pas rencontrer d’âmes qui vivent… C’est un secteur vraiment sauvage ! Côte Est, Crète, septembre 2019.
Qui c’est celui là !, a-t-il dû penser ! Cette deuxième rencontre lors de cette randonnée fût lors de mon retour à la civilisation. Il était surpris et curieux comme tout . Vous pouvez voir qu’il y avait du vent et pour tout dire , à un moment, j’étais plié en deux pour pouvoir avancer tellement il était virulent, avec en plus une chaleur très forte. Côte est, Crète, septembre 2019
La surprise fût des deux côtés ! Elle devait se demander quel énergumène faisait là ! En essayant de faire son approche, j’avais le vent pour moi, je découvris qu’en fait une dizaine de chèvres » sauvages » dormaient en bord de mer et elles décampèrent aussitôt . En tout cas, je peux vous dire que cela faisait du bien de voir cette forme de vie dans ce lieu sauvage. Je me sentais moins seul dans ce milieu naturel après ces trois heures de marche dans l’inconnu et la découverte de cette planète terre. Côte Est, Crète, septembre 2020